jeudi 18 décembre 2014

Capsule 1



Tabelle 1: 
Titel des Märchens auf Französisch
Name der Figur auf Französisch





















Tabelle 2:
 
Titel des Märchens auf Deutsch
Name der Figur auf Deutsch
Merkmale/Charakteristika





































3.
Ein Junge, der nicht die Wahrheit sagt.
Ein Junge, der Flöte spielt.
Ein Mädchen, das mit 7 Zwerglein im Wald lebte.
Ein Wolf, der ein Nachthemd trägt.
Drei kleine Schweinchen, die sprechen.
Eine Katze, die Stiefel und einen Hut trägt.
Ein Frosch, der eine Krone trägt.

Hast du weitere Ideen ?  Ein Prinz, der  ....../ Eine Prinzessin, die ......./ Ein Esel, der ... Ein Baum, der ... / Ein Stutenkerl, der ...






Brouillon de la séquence



Consigne: "Schreiben Sie in vierer Gruppen ein Märchen, das eine ökologische Moral enthält. Um diese Aufgabe zu realisieren, benutzen Sie das Programm Framapad."

Par groupe les élèves devront inventer un conte.

Capsule 1: Introduire le thème 
Regarder la vidéo de Shrek http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=184&cfilm=27415.html
-> Connaissez vous ces personnages? Quelles sont leurs caractéristiques?
Groupe 1 remplit la partie gauche du document  ci-joint
Groupe 2 : remplit la partie droite

Capsule 2: Repérer sur les sites suivants les caractéristiques du conte.
groupe 1 :
groupe 2

Fiche de notes à compléter en plénière

tâche intermédiaire 1 en plénière : 
Distribuer des images de BD ( d'un conte) dans le désordre. Remettre les images dans l'ordre en identifiant les différentes phases du conte.
( die Frau Holle)

En groupes de 4 :

capsule 3: Faire le portrait physique/ moral des 2 personnages que vous avez identifiés comme personnages principaux de l'histoire.

Tâche intermédiaire 2 :  ( Framapad) écrire 4-5 phrases pour chaque image distribuée

Tâche intermédiaire 3 : en plénière : mise en commun , construction commune du scénario

Tâche sociale complexe

Schreiben Sie in vierer Gruppen ein Märchen, das eine ökologische Moral enthält. Um diese Aufgabe zu realisieren, benutzen Sie das Programm Framapad. Später werden Sie Ihr Märchen dazu verwenden, einen Zeichentrickfilm zu erstellen.
Au sujet de la fin de la transmission verticale du savoir et  des classes inversées


Voici un article sur http://www.philomag.com/les-livres/lessai-du-mois/transmettre-apprendre-8987


n°77 20/02/2014
voir aussi le livre de Michel Serres "Petite Poussette" 2011( critique dans Libération culture : http://www.liberation.fr/culture/2011/09/03/petite-poucette-la-generation-mutante_758710 )

(Re)construire les savoirs. À bas la transmission ! Vive l’apprentissage par soi-même ! Pour sortir de l’impasse, trois penseurs de l’éducation dessinent un maître qui ne détient pas la vérité mais sait en montrer le chemin.

On voudrait changer son rythme, y donner des cours de morale, y organiser de la prévention, y faire s’épanouir les enfants tout en leur apprenant à lire, écrire et compter… L’école aujourd’hui ne sait plus où donner de la tête ! Sa mission se perd dans le brouillard des multiples réformes et débats dont elle fait l’objet. Afin d’y voir plus clair, Marie-Claude Blais, Marcel Gauchet et Dominique Ottavi, trois penseurs de l’éducation, proposent de revenir aux fondamentaux que sont la transmission et l’apprentissage pour mieux analyser leur articulation. Une démarche collective pour un objet qui ne l’est pas moins : la construction des savoirs.

« Nous sommes définitivement passés d’une société de transmission à une société de la connaissance »

« Nous sommes définitivement passés d’une société de transmission à une société de la connaissance », diagnostiquent les auteurs. Ce qui signifie, scolairement parlant, que l’on est passé de « l’impératif de transmettre » à un « modèle centré sur l’acte d’apprendre ». Depuis les années 1970, fini les élèves docilement soumis aux maîtres, place aux « apprenants », êtres actifs capables de construire seuls et selon leur intérêt leurs propres savoirs. Mai 68 et son rêve de table rase sont passés par là, l’école n’y échappe pas. Les modèles d’autorité incarnés par la génération précédente, le passé, l’exemplarité des grands auteurs, volent en éclats pour mieux dévoiler l’autonomie et la liberté de l’enfant. À bas la transmission verticale, vive l’apprentissage.
L’ennui, c’est qu’il ne suffit pas de déclarer la transmission morte pour la faire effectivement disparaître. Quand l’école y renonce, elle se réfugie d’autant plus dans la sphère privée où nul souci égalitaire n’a lieu d’être. Cette « éducation implicite » qui se joue d’abord en famille est le point aveugle hypocritement ignoré des tenants de l’apprentissage. Dans Les Héritiers, coécrit avec Jean-Claude Passeron, Pierre Bourdieu, sociologue « soixante-huitard », l’avait pourtant mise en lumière dès 1964, soulignent les auteurs. Habitudes du corps et de l’esprit, valeurs morales, attitude face à la vie, maîtrise du langage… autant de « transmissions » que le paradigme de l’apprenant ne prend plus en charge. On aurait voulu ouvrir un boulevard aux inégalités que l’on ne s’y serait pas mieux pris, pourrait-on résumer.
Entre un modèle ou l’autre, il ne s’agit pas de choisir. « L’unilatéralisme ancien ignorait le comment, l’unilatéralisme nouveau ignore le quoi. […] Nous sommes à la recherche d’un équilibre que l’on devine difficile », professent Blais, Gauchet et Ottavi. Là où les philosophies traditionnelles de la connaissance, de Descartes à Kant, ne nous sont d’aucun secours, pourquoi ne pas tenter une « phénoménologie de l’apprendre » ? Elle nous montrera que lire, écrire et compter ne sont pas des « compétences purement mécaniques ou fonctionnelles », comme on a tendance à les y réduire, mais un « labyrinthe de significations » qu’il n’est pas assez d’une vie pour entièrement défricher.
La disponibilité sans fin et sans fond d’Internet n’est pas pour rassurer ni encourager. Les auteurs y voient un miroir aux alouettes, dans lequel s’est perdue la « Petite Poucette » chère au philosophe Michel Serres, dont la dimension angélique est dénoncée. Pas de manichéisme toutefois. Internet et réseaux sociaux constituent simplement un nouveau défi pour des professeurs dont la mission sera d’« enseigner à éliminer, trier, organiser, hiérarchiser, faire des liens, distinguer le vrai du faux et du “même pas faux”, veiller à la fiabilité des informations ». On ne leur demande plus de détenir la vérité mais d’en montrer le chemin sans en cacher les aspérités. Des Socrate 2.0, en somme.

dimanche 7 décembre 2014

Unser Märchen

Waldrose
Es war einmal ein junges Mädchen, Rose genannt, das mit seinen fünf kleinen Geschwistern am Rande des großen Waldes lebte. Ihre Eltern hatten sie während einer langen Dürreperiode aus Not zurückgelassen. So lebten die sechs Geschwister in bitterer Armut. Rose, die sich als Älteste um ihre kleinen Geschwister kümmerte, bemerkte eines Tages, als der Winter vor der Tür stand, dass dem Haushalt der kleinen Familie das Feuerholz zur Neige ging. Daher blieb ihr nichts anderes übrig, als die alte Axt, die ihr Vater zurückgelassen hatte, aus dem Schuppen zu holen und sich auf in den Wald zu machen, um Holz zu hacken.
Als sie aber im Wald angekommen war und ihre Axt erheben wollte, überkam sie ein Unbehagen. Der Wald kam ihr plötzlich so lebendig und zauberhaft vor, so dass sie es kaum noch wagte, ihre Axt mit all ihrer Leibeskraft in das Holz zu schmettern. Doch kamen ihr sogleich ihre hungrigen Geschwister in den Sinn und sie schöpfte den Mut, sich an die Arbeit zu machen.  Nachdem sie vier Stücke Holz gehackt hatte, sank sie vor lauter Erschöpfung nieder. So beschloss sie, sich einen Moment auszuruhen und fiel in einen unruhigen Schlaf. Im Traum wurde sie von einem bösartigen Troll heimgesucht, der zu ihr sprach: „Kleines Mädchen, was machst du denn da so alleine im Walde?! Merkst du denn nicht, dass du hier fehl am Platze bist?! Und schämst du dich nicht, den Wald derart zu plündern und dich so an der Natur zu bereichern? Geh jetzt nach Hause und wage es nicht wiederzukommen, sonst wird dir etwas Schreckliches passieren!" Erschrocken fuhr sie aus ihrem Schlaf und machte sich ganz benommen auf den Weg nach Hause. Dort erwarteten sie schon ungeduldig ihre fünf hungrigen Geschwister, die ihre warme Suppe mit Wonne genossen. 
Am nächsten Tage begab sie sich unter den Klagen ihrer hungrigen Geschwister abermals in den Wald. Und wieder versank sie vor lauter Erschöpfung in den Schlaf. Und wieder erschien ihr der böse Troll. „Kleines Mädchen, warum bist du denn schon wieder hier?! Hast du denn meine gestrigen Worte nicht gehört? Geh jetzt nach Hause. Ich warne dich. Es wird etwas Schreckliches passieren!"Abermals ging sie wie betäubt und schlechten Gewissens nach Hause. Sie sagte sich: „Ich darf nicht wieder in den Wald gehen. Es muss eine andere Möglichkeit geben, um die hungrigen Mäuler zu stopfen." Vor lauter Grübeln machte sie in dieser Nacht kein Auge zu. In den frühen Morgenstunden traf sie schließlich die Entscheidung, ins Dorf aufzubrechen und ihre alte Tante, die sie als Kind verstoßen hatte, um Hilfe zu bitten. 
Als sie gehen wollte, lief ihr ihr zweitjüngster Bruder hinterher: „Röschen, Röschen, mein liebes Schwesterlein warte! Der kleine Peter ist krank. Er zittert vor Fieber und braucht dringend ein warmes Süppchen." Da blieb ihr nichts anderes übrig, als kehrt zu machen und sich in den Wald zu begeben. So erhob sie trotz schlechten Gewissens ein drittes Mal die Axt. Doch bevor die Axt die Baumrinde nur berühren konnte, zerschellte sie in der Luft und die donnernde Stimme des Trolls erhalte: „Wagst du es ein drittes Mal den Wald zu betreten und Übles zu tun?! Ich habe dich gewarnt!" Noch im selben Moment verschwand der Troll samt dem Holz mit einem lauten Donnern. 
Nach einem kurzen Moment des Entsetzens beschloss sie sich auf die Spur des Trolls zu machen, um ihr Holz, das sie doch so dringend brauchte, wiederzubekommen. So verfolgte sie den Troll und schlug sich durch die Sträucher und Büsche, bis sie auf eine Lichtung kam. Sofort bemerkte sie die verwunschene Atmosphäre dieses Ortes. Aber keine Spur vom Troll. Als sie sich umsah, fiel ihr Blick auf ihren Holzstoß, der unter einer alten mächtigen Eiche lag, und vor lauter Freude lief sie auf  ihn zu. In dem Augenblick, als sie das Holz berühren wollte, hielt sie eine hölzerne Hand zurück. Sie drehte sich um und sah niemanden. Dann hörte sie plötzlich eine tiefe drohende Stimme: „Mein treuester Diener, mein lieber Troll Ewo, hat dich drei Mal gewarnt, doch du wolltest nicht gehorchen."
Rose brauchte einige Sekunden, um zu verstehen, wer zu ihr sprach. Es war die alte mächtige Eiche, die in der Mitte der kleinen Lichtung stand. Da bekam sie Angst, denn einen sprechenden Baum hatte sie noch nie gesehen. Dann fuhr die Eiche fort. „Mein armes Kind, du musst begreifen, dass du mit deinem zügellosen Verhalten dem Wald schadest. Du kannst nicht so viel Holz hacken, wie du möchtest, denn dadurch zerstörst du die Natur."
Verzweifelt widersprach Rose: „Liebe mächtige Eiche verstehe doch bitte, dass ich das Holz dringend brauche. Es ist so bitter kalt und meine kleinen Geschwister frieren. Ohne das bisschen Holz werden wir  entweder jämmerlich erfrieren oder Hungers sterben. Verstehe doch, dass mir nichts anderes übrig bleibt!"
 „Mein Kind", erwiderte die Eiche, "ich verstehe deine Not. Doch ist es keine Lösung, den armen Wald für deine persönlichen Probleme zu bestrafen. Den Wald mit allen seinen Bewohnern! Weißt du denn gar nicht, wem du alles mit deinem egoistischen Verhalten geschadet hast?" Die Eiche fuhr mit ihrem holzigen Arm tief in ihr dichtes Geäst und holte sieben Eichhörnchen hervor. Die kleinen Geschöpfe sahen allesamt kränklich aus und das jüngste, das kaum größer war als Roses Daumen, schluchzte kläglich.
„Was ist mit ihnen geschehen?", stieß sie entsetzt mit heiserer Stimme hervor.
„Das sind die Bewohner der Bäume, die du geschlagen hast! Diese Familie hat nun kein  Zuhause mehr. Glücklicherweise haben sie es mit Mühe und Not geschafft, sich bis zu mir durchzuschlagen. So konnte ich sie fürs erste beherbergen. Begreifst du jetzt, was du angerichtest hast?!"
„Ja", sagte Rose ganz betroffen, während ihr die Tränen über die Wangen liefen. „Ich verspreche euch, dass ich nie wieder den Wald und seine Bewohner stören werde".
 In diesem Augenblick geschah etwas Unglaubliches. Mit einem lauten Knall verschwand die Eiche in einer Staubwolke. Es dauerte einige Sekunden, bis sich der Staub legte und Rose wieder klar sehen konnte. Dann erblickte sie die sieben Eichhörnchen, die gesund und munter aus dem Staub hervorsprangen und im Wald verschwanden. Völlig überrascht begann sie nach der Eiche zu suchen. Als sie sich der Stelle näherte, wo der Baum zuvor fest verwurzelt stand, sah sie einen Jungen ihres Alters im Moos sitzen.
„Wer bist du? Was machst du hier? Und wo ist die Eiche geblieben?", rief Rose aufgeregt. "Beruhige dich", sagte der Junge. Merkwürdigerweise erinnerte sie die Stimme an jemanden. „Ich bin oder besser ich war die Eiche! Und ich bin dir zu großem Dank verpflichtet".
Rose sah den Jungen ungläubig an. Dann fiel ihr Blick auf seine teuren Kleider.
„Rose, ich bin der verschollene Sohn des Königs. Du hast sicher schon von meiner Geschichte gehört. Ich ging eines Tages wie so oft im Wald jagen und kehrte nie wieder zurück."
Tatsächlich kannte Rose die Geschichte des Prinzen, doch hatte sie sie nie für wahr gehalten. „Pass gut auf Rose. Ich werde dir alles erklären. Zwei Mal ging ich in diesem Wald jagen und beide Male wurde ich wie du auch vom Troll, dem Diener des Waldes, gewarnt. Doch wollte ich nicht auf ihn hören und jagte weiter, aber nicht weil ich das Fleisch zum Überleben brauchte, sondern aus purem Vergnügen, da die Jagd meine Leidenschaft war. Als ich zum dritten Mal im Wald auf die Jagd ging, verwandelte mich der Troll in eine Eiche, um den Wald vor mir zu schützen und um mich zu bestrafen. Doch gab mir der Wald noch eine Chance, um diesen Bann zu lösen und wieder ein Mensch zu werden. So war es meine Aufgabe, einen anderen Menschen, der sich am Wald bereicherte, von seinem Unrecht zu überzeugen. Und dieser Mensch bist du! Du hast dich überzeugen lassen und so wurde ich wieder ein echter Junge. Vielen Dank liebe Rose. Da du mir so sehr geholfen hast und da du trotz deiner eigenen Not dein Unrecht verstanden hast und ehrlich auf das Holz verzichten wolltest, möchte ich dir nun auch einen Dienst erweisen."
Da begleitete der Prinz Rose nach Hause und begab sich selbst auf den Weg zum Schloss seines Vaters, der über die Rückkehr seines verschollenen Sohnes überglücklich war. So kam der Prinz nach einer Woche und einem Tag zu Roses ärmlicher Hütte zurück, um um ihre Hand anzuhalten. Rose, der der Prinz nicht mehr aus dem Sinn gegangen war, war natürlich mit der Hochzeit einverstanden. 
Nach der Hochzeit nahm der Prinz Rose und all ihre Geschwister mit auf sein Schloss und ihre Armut war vergessen.
So lebten sie glücklich und zufrieden bis ans Ende ihrer Tage.